Sur les coutures de ta robe blanche
Suivant les courbes de tes hanches
Glissent les paumes de mes mains
Pour finir dans le creux de tes reins
Et mes lèvres dans un tendre enlacement
Dans ton cou se posent tendrement
...
Ton parfum m’enivre
Tu m’invite à poursuivre
Plus loin mes investigations
découvrir d’autres horizons
Et partir à l’aventure
De ta fragile nature
...
La douceurs de tes formes somptueuses
M’ont vite mis d’humeur chaleureuse
Et petit à petit tout naturellement
Je t’ai déshabillée très lentement
Chaque bout de peau ainsi dévoilé
Étant couvert d’un doux baiser
...
Flattant le galbe des tes Seins
Que je parcours sans fin
Je n’ai que cet immense désir
De t’offrir tout les plaisirs
De l’amour et la tendresse
De la joie Et des caresses
...
Sur tes cuisses je me promène
Car en moi il n’y a plus de gêne
Mes doigts glissent sur ton ventre
Et se dirigent vers ton antre
Vers cette douce humidité
Que tu me presses à visiter
...
Nos corps se frôlent et s’enlacent
De nos têtes les soucis s’effacent
En nos êtres il ne subsiste
Qu’une envie mais on résiste
Au besoin purement bestial
Préférant l’amour total
...
Tu m’as alors bien fait comprendre
Qu’il ne fallait plus te faire attendre
Et laissant libre cours à nos sens
Avant qu’arrive la jouissance
L’expression de nos sentiments
Explosent sans ménagement
...
L’un contre l’autre allongé
Mon regard dans le tien s’est plongé
Exprimant la reconnaissance
De partager ton existence
De me donner ton amour
Que je garderai toujours
...
Les souvenirs s’accumulent
Et dans ma mémoire se bousculent
Tous ces instants passés
Et ces baisers échangés
Parfois voulu ou bien volé
Jamais déçu, mais passionné
Naja – Décembre 2005